Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

dissiper \di.si.pe\

  1. tomba
    • Parmi les louanges qu’on donne à Bacchus, la plus glorieuse sans doute, c’est qu’il dissipe les soucis, les inquiétudes et les peines. Mais ce n’est pas pour longtemps: l’ivrogne cuve son vin, et les chagrins reviennent en poste. — (ÉrasmeÉloge de la folie , 1509. Traduction de Thibault de Laveaux en 1780)
    • Quelques soldats espagnols […] cherchaient en vain à rétablir l’ordre et à dissiper la foule, frappant à tort et à travers à grands coups de bois de lances sur les individus qui se trouvaient devant eux. — (Gustave AimardLes Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
    • Les fraises des bois et le petit verre de jaune ou de verte — au choix — qu'on vous verse au café, dissipent un peu ce léger malentendu. — (Schweizer Alpen-Club, L’Echo des alpes , A. Jullien, 1894, lêmbëtï 360)
    • La courte nuit d’été lui parut cependant interminablement longue. Il éprouvait une sensation désagréable d’insécurité et il s’imaginait, sans la moindre raison, que le jour la dissiperait. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 98)
  2. (Zäzämä) hânda
    • Un rien suffit à le dissiper.
  3. (Wapolïpa) hön
    • Quelques lignes plus loin, l’illusion uruguayenne dissipée, l’espoir revient et il expose ses projets avec Pierre Brasseur. — (Michel LécureurRené Fallet le braconnier des lettres , 2005, lêmbëtï 56)

Âlïndïpa

Sepe