effleurer
Palî
Sepeeffleurer \e.flœ.ʁe\ palî tî mbenze
- ndû kêtê
- Alors une bouche brûlante
Effleure et rebaise à loisir
Ces appâs voués au plaisir,
Mais qu’une volupté naissante
N’avait jamais fait tressaillir. — (Évariste Parny, La journée champêtre , 1808) - En ce moment, les cheveux de Juliette effleurèrent les joues de Vandenesse ; elle sentit ce contact léger, elle en frissonna violemment, et lui plus encore. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans , 1855)
- Bien protégé derrière le pare-brise, le déplacement d’air provoqué par la rotation de l’hélice m’effleurait à peine les joues. — (Dieudonné Costes na Maurice Bellonte, Paris-New-York , 1930)
- J'avais un mouvement précis de la langue pour empêcher le pain sacré d’effleurer mes dents. Je pratiquais même ma technique en mangeant des retailles d’hosties que j'achetais à la livre chez les religieuses cloîtrées qui les fabriquaient. — (Denise Bombardier, Une enfance à l'eau bénite , éditions du Seuil, 1985, chap. 9)
- (Zäzämä) Pour continuer notre comparaison mythologique, l’amour ne l’avait pas encore effleurée de son aile. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
- Alors une bouche brûlante
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine