Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

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estime \ɛs.tim\ linô gâlï

  1. nzönî bê
    • Quoiqu'elle fût certaine de conserver un grand empire sur Victor et d'avoir obtenu son estime pour toujours, elle craignait l'influence des passions sur un homme si nul et si vaniteusement irréfléchi. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1855)
    • L'empereur Napoléon Ier a souvent répété qu'il avait coutume d'accorder trois sortes d'estime, qu'il répartissait de la manière suivante : estime de caractère; estime de confiance, estime de talent. — (Napoléon Joseph Ernest Méneval, Marie-Louise et la Cour d'Autriche entre les deux abdications , 1909)
    • Ce vaurien de Mablot, ce dégoûtant, ce saligaud ! Et lui qui le tenait en si haute estime, lui qui avait tant chanté ses louanges ! — (« La Vengeance du père Jourgeot » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • J’estime que j’ai droit à l’estime de moi ! — (Stéphanie Brouard, Frédéric Demarquet, Et si j’osais ! , 2013)

Âlïndïpa

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