Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

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famine \fa.min\ linô gâlï

  1. (Sêndâdünîa) kötä nzara
    • La cité de Carcassonne était, à la fin du XIIIe siècle […] une place imprenable qu’on ne pouvait réduire que par la famine, et encore eût-il fallu, pour la bloquer, une armée nombreuse. — (Eugène Viollet-le-DucLa Cité de Carcassonne , 1888)
    • Au milieu de la lutte contre le chaos, dans le sillage de la famine, survint un autre vieil ennemi de l’humanité : la peste, la Mort Pourpre. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 417)
    • Les années de famine, se déroulent des scènes effroyables, émeutes férocement réprimées, meurtres d'enfants, nécrophagies. — (« L'agriculture dans le Finistère » na P. Leuilliot, V. Chomel, A. Meynier, Histoire et géographie agrairesRevue des Annales, Éditions Armand Colin, 1950, volume 5, note bibliographique, lêmbëtï 270)
    • Après Prévost, il faudra attendre près de 50 ans encore et traverser les terribles famines d’Irlande pour que l’on reconnaisse enfin de façon irréfutable que les champignons vivants peuvent être la cause de maladies chez les végétaux. — (Jean {Semal, Pathologie des végétaux et géopolitique , 1982)

Âlïndïpa

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