Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

fange \fɑ̃ʒ\ linô gâlï

  1. potopôto
    • Sa maison était propre, bien tenue ; elle tranchait avec la blancheur gaie de sa façade et le luisant de ses meubles, sur les taudis immondes où, d’ordinaire, croupissent dans la fange et dans la vermine, les marins bretons. — (Octave MirbeauLes eaux muettes )
    • Il nous fallut repasser le Rhin sur le pont de Strasbourg à travers des eaux et des fanges inconcevables. — (Louis de Rouvroy47, 55 )
    • De toute la grande ville de toile blanche, il ne reste plus maintenant qu’une vaste tache noire : toute la fange et toutes les immondices accumulées en soixante-dix jours par environ seize mille hommes et autant de bêtes. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 116)
    • La bourbe te monte jusqu’aux chevilles. […]. Marche, c’est te livrer finalement, à bout de forces, à la fange gluante. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
      • Plongé dans la fange des voluptés terrestres.
      • Il m’a tiré d’un abîme de fange et de boue. — (Port-RoyalPsaume 39 )

Âlïndïpa

Sepe