Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Un tas de farine.

farine \fa.ʁin\ linô gâlï

  1. fuku
    • La farine constitue, comme le lait, un aliment complet, car elle renferme toutes les substances nécessaires à la nourriture de l'homme. On y trouve en effet une matière azotée, appelée gluten, comparable au caséum, une matière grasse analogue au beurre, une matière amylacée qui correspond au sucre de lait, et enfin des sels minéraux. — (Edmond NivoitNotions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes , 1869, Charleville: E. Jolly, âlêmbëtï 116)
    • Les bancs d’essai automatiques de dosage des protéines dans les céréales seront vérifiés globalement à l'aide de farines de référence. — (L’audit de la métrologie dans le cadre des certifications de systèmes de management , Collège Français de Métrologie & Lexitis Éditions, 2014, lêmbëtï 10)
    • Retirez bien l’excédent de farine qui pourrait se former lorsque vous tourez la pâte. S'il y a trop de farine, les couches de détrempe ne se colleront pas entre elles et vous aurez du mal à réaliser le feuilletage. — (Noémie Strouk, Gâteaux waouh ! , Éditions Larousse, 2015, lêmbëtï 268)
  2. (Bîanî) fuku tî farîni
    • Si vous pouvez nous envoyer une sache de farine propre à faire du bon pain de ménage, faites-nous la passer. — (Aurélien Vivie, Histoire de la terreur à Bordeaux , vol.1, page 180, Feret & fils, 1877)
    • Le pain à mie compacte et bise, à la croûte épaisse couleur de couque, sent la farine honnête. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï