fauteuil
Pandôo
Sepefauteuil \fo.tœj\ linô kôlï
- (Yê tî yâda) ngendë, kötä ngendë
- Un fauteuil est là ; j’y tombe ; tout devient plus tranquille et plus doux. — (Henri Barbusse, L’Enfer , Éditions Albin Michel, Paris, 1908 ; éditions G. Crès, Paris, 1925)
- Et quand je m'approchai du fauteuil de grand’mère pour lui baiser la main, elle se détourna et cacha sa main sous son mantelet. — (Léon Tolstoï, Souvenirs (1851-1857) , gbïänngö tî Ardève Barine, éd.1922)
- Les clients […] s'installaient placidement, qui sur des banquettes de velours moelleux, qui dans le creux de fauteuils hospitaliers. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 78)
- Il gagna la grande salle de réception aux fauteuils surmontés de dorures. — (« Zaheira » na Out-el-Kouloub, Trois contes de l'Amour et de la Mort , 1940)
- La grand-mère, tellement vieille qu’on ne voyait plus ses yeux, dormait dans un antique fauteuil, au haut duquel perchait une pie. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813 , J. Hetzel, 1864)
- Ils vendirent leur mobilier sur place et ne ramenèrent de Termonde que leurs vêtements et leur linge de maison, leur plus belle vaisselle, le fauteuil d'osier de bon-papa et ce qui lui restait de livres ainsi que les ustensiles de cuisine de bonne-maman. — (Marie-José Hervyns, De zéro à vingt-et-un ans: Souvenirs , Éditions du Bélier, 1973, lêmbëtï 143)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï