fidèle
Pasûndâ
Sepefidèle \fi.dɛl\ linô kôlï wala linô gâtï
- bêtâ
- Ah ! J’espérais te voir fidèle à ton vieux père jusqu’à sa mort, j’espérais te conserver près de moi heureuse et brillante ! T’admirer comme tu étais encore naguère. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans , 1855)
Pandôo
Sepefidèle \fi.dɛl\ linô kôlï wala linô gâtï
- (Nzapä) wamäbê
- Le Christianisme romain tend alors à n’être qu’un formalisme rituel, pour lequel l’idéal du fidèle devient le bon paroissien qui pratique et qui croit sans discussion. — (Louis Rougier, Histoire d’une faillite philosophique : la Scolastique , 1925, éd. 1966)
- Là, tous les ans, au dimanche des Rameaux, l’évêque montait en chaire et il haranguait les fidèles rassemblés dans la Cathédrale, en ces termes : […] — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
- La paroisse compte une trentaine de feux, assez peu de fidèles. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- Le chancel est destiné à isoler le chœur ou sanctuaire de la nef. Le chœur est réservé aux clercs, la nef aux fidèles. Ces derniers ne peuvent pénétrer dans le chœur et doivent suivre les offices à travers la clôture. — (Mémoires de la Société d'émulation des Côtes-du-Nord , 1985, vol.113-117, lêmbëtï 63)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï