Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

fillette \fi.jɛt\

  1. ...

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

fillette \fi.jɛt\ linô gâlï

  1. kêtê môlengê-wâlï
    • J’écoute le vaguemestre nous lire le courrier qui part : il approuve sans réserve la carte du colonel : Tout va bien, mais est étonné par celle du capitaine adjoint qui écrit à ses deux fillettes : Bonjour dominical du papa […]
    • Dans les petites villes, on ne peut pas caresser le menton d’une fillette sans passer pour un vilain monsieur…
    • Ahmed Abdou s’effrayait aussitôt, et craignait que la graine dure et traîtresse, cachée sous les fibres, ne blessât la fillette.
    • La preuve que celle-là était une fillette, c’est qu’elle se baignait en maillot comme un garçon. Jamais une fille du bourg ne se le serait permis.— (François MauriacUn adolescent d’autrefois , Flammarion, 1969, page 252)

Pandôo

Sepe
 
Une fillette, à côté d’un verre et d’une bouteille d’eau.

fillette \fi.jɛt\ linô gâlï

  1. marä tî ngbëndä na 25 wala 37, 5 cl
    • Les fillettes de rosé étaient placées au frais dans un creux d’eau à l’endroit où un mince ruisseau venait se perdre.
    • «Baiser une fillette» es tune expression courante dans les sociétés de jeux de boule où les hommes, en l'absence des femmes, interdites de jeu, ne se privaient pas d'en consommer largement. Petit rappel nécessaire pour éviter toute mésinterprétation : l'expression est ancienne elle date du temps où «baiser» signifiait d'abord «prendre dans ses bras» et ensuite «toucher quelque chose avec ses lèvres».— (Danièle Sallenave, Dictionnaire amoureux de la Loire , éd. Place des éditeurs, 2014)

Pandôo

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fillette \fi.jɛt\ linô gâlï

  1. (Hëngö-ndo) gerê
  2. (Tî halëzo, Könöngö) könöngö-gerê
    • 1, 92 m, 46 fillettes. Mais le gars est tout le contraire : voix douce, gestes amènes, alors on le moque gentiment pendant qu’il monte la dune quasiment sur la pointe des pieds, concentré sur ses Jordan bleu ciel qu’il ne faudrait surtout pas abîmer.