Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

flâner \flɑ.ne\ kürü palî

  1. tula, gboto gerê
    • La nuit est chaude. Vous remontez en flânant la Canebière et vous la quittez au boulevard Dugommier. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Alors demeurait au fond de l’impasse Saint-Mittre, dans une masure dont les derrières donnaient sur le terrain des Fouque, un homme mal famé, que l’on désignait d’habitude sous cette locution, « ce gueux de Macquart. » Cet homme disparaissait pendant des semaines entières ; puis on le voyait reparaître, un beau soir, les bras vides, les mains dans les poches, flânant ; il sifflait, il semblait revenir d’une petite promenade. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon , G. Charpentier}, Paris, 1871, chapitre II} ; réédition 1879, page 49)}
    • La fiche de la 6 212 me semblait nimbée des vapeurs de la délicatesse.
      « Elle aime le cinéma, le théâtre, les concerts, les conférences. Mais aussi les
      flâneries. Quelle autre de vos clientes a parlé de flâneries ?… »
      – Les autres n’ont pas le temps de flâner. Elles travaillent ! dit Juliette.
      — (Paul GuthLe mariage du Naïf , 1957, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 106)
    • Une grande chambre mansardée dans laquelle flânait une odeur subtile de pin. — (François Pinson, Meurtre au bagne des enfants )

Âlïndïpa

Sepe