Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Un footballeur de l’U.S.P.L.M. en 1919

footballeur \fut.bo.lœʁ\

  1. (Mozën tî Angelëe) (Ndembö tî gerê) wandembö tî gerê
    • C’est un des caractères distinctifs de la civilisation que l’homme ait la plus grande méfiance envers celui qui ne vit pas dans son milieu et qu’un footballeur, par conséquent, tienne un pianiste (et non point seulement un Germain, un Juif) pour un être inférieur et incompréhensible. — (Robert MusilL’Homme sans qualités , 1930-1932, traduction de Philippe Jaccottet, 1956, lêmbëtï 32)
    • D’une façon générale, un footballeur professionnel français gagne largement sa vie, habite un appartement coquet et roule en voiture. Il n’est pas à plaindre et a le temps, en dix ou quinze années d’activité, d’assurer son avenir. — (Georges Oudard, France illustration , 1953, lêmbëtï 82)
    • S’agissant du footballeur professionnel, la jurisprudence, la doctrine juridique et comptable précitée considère sa force de travail comme un élément du patrimoine. — (Moustapha Kamara, Les Opérations de transfert des footballeurs professionnels , Éditions L’Harmattan, 2007, lêmbëtï 265)
    • Le football est complexe et le footballeur est un homme complexe qui fonctionne à partir de cette interaction permanente. — (Jean-Paul Ancian, Football : une préparation physique programmée , Éditions Amphora, 2008, lêmbëtï 14)

Âlïndïpa Sepe