Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

fraternité \fʁa.tɛʁ.ni.te\ linô gâlï

  1. îtä
    • La seule notion de fraternité qui m'intéressait était celle à laquelle j'avais parfois recours lorsque je séchais sur un devoir. À ce moment, un grand frère ne m'aurait pas déplu. — (Jean Bouvier-Cavoret, Qui sont-elles ? , Éditions JMJBC, 2007, lêmbëtï 98)
  2. söngöâzo
    • La constitution de 1793 fut le premier pacte social qui, depuis l'origine du monde, eût fait un dogme de la fraternité humaine. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises , 1879)
    • Quand nous reconnaissons en l'autre quelques chose qui nous est commun, cela s'appelle la fraternité. Cela s'appelle l'humanité. — (Simone Veil, discours prononcé à la remise du prix Anetje Fels-Kupferschmidt, Amsterdam, le 26 janvier 2006, dans Simone VeilMes combats , Bayard, 2016, lêmbëtï 97)
    • La notion de fraternité est éminemment paradoxale, car elle dit le lien avec un terme excluant. — (Réjane Sénac, Les non-frères au pays de l'égalité , Presses de Sciences Po, 2015, lêmbëtï 98)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï