Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

fusillade \fy.zi.jad\ linô gâlï

  1. pïkängö-ngombe
    • Se croyant attaqués, deux soldats déchargent leurs armes ; alors la fusillade éclate des deux côtés. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises , 1879)
    • Le crépitement de la fusillade amena rapidement sur les lieux le Preussen et le Kiel, qui, avec quelques grenades à main, détruisirent toutes les habitations dans un rayon d’un mille. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 236)
    • L’année dernière a été la pire, avec le plus grand nombre de fusillades jamais répertorié à Toronto. En 2019, plus de 760 Torontois ont été atteints par des projectiles d’arme à feu, le triple du nombre de victimes par balle dans la ville en 2014. Le 19 octobre 2020, les statistiques de la police révélaient qu’il y avait eu 409 fusillades depuis le début de l’année. L’année dernière, la ville a connu un record de 492 fusillades.— (Benoît Lester, « Toronto: multiculturalisme, violence et apartheid » na Le Journal de Montréal , 16 Nabändüru 2020)

Âlïndïpa

Sepe