Bâa ngâ : Geographie

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

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géographie \ʒe.o.ɡʁa.fi\ wala \ʒe.ɔ.ɡʁa.fi\ linô gâlï

  1. sêndâsêse
    • […] quelqu’un aurait dit aux parents du gamin : « C’est bien fait pour vous ! Si vous l’aviez mis à l’école des Frères, on lui aurait fait apprendre son catéchisme, au lieu de lui faire perdre son temps à apprendre l’histoire et la géographie de la France ». — (Émile-Ambroise ThirionLa Politique au village , Fischbacher, 1896, lêmbëtï 325)
    • Il me fait d’abord un cours de géographie, et j’apprends que la terre est un disque dont l’Arabie occupe le centre. — (Frédéric WeisgerberTrois Mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Ernest Leroux, Paris, 1904, lêmbëtï 123)
    • En 1808, Napoléon […] voulut nous remettre à notre rang ! […] Au mépris de la géographie et de l’histoire, sans consulter les populations et même contre leur gré, contre leurs intérêts, contre leurs désirs, l’autocrate dessina ce département mosaïque […] — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
  2. bûkusêndâsêse
    • On sera peut-être surpris de ne pas trouver cités les nombreux auteurs des géographies modernes, des tableaux et atlas statistiques, des dictionnaires et une foule d’autres ouvrages qui depuis quelques années inondent le public. — (Adriano Balbi, « La Population des deux mondes » na Revue des Deux Mondes , 1829, tome 1)

Âlïndïpa

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