Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

gagne-petit \ɡaɲ.pə.ti\ linô kôlï

  1. (Lâkûê) wayërë
    • […], ils ne pouvaient avoir une valeur suffisante pour justifier le dérangement, surtout quand on en a été réduit à vivre avec un mistouflard, un gagne-petit, comme le frangin. — (Chester HimesLa reine des pommes , 1958, lêmbëtï 51)
    • Qu'étaient ces Cleenewerck ? Leur patronyme, auquel ils ne mettront une rallonge qu'au début du XVIIIe siècle, signifie, au choix, « petit travail » au sens de «gagne-petit », ou, plus pittoresquement « n'en-fait-guère ». Le patronyme anglais Doolittle, donné par Bernard Shaw au boueux promu philosophe de son Pygmalion, en est l'équivalent presque exact, qui manque en français. — (Marguerite YourcenarArchives du Nord , Gallimard, 1977, âlêmbëtï 39-40)
    • Les artistes contemporains sont des gagne-petit : aucun ne figure dans la liste des 1 226 milliardaires établie par la revue Forbes. — (lemonde.fr , 22 Ngubê 2012)
    • Les cheminots ont, certes, du mal à refaire le coup de 95, les étudiants à rejouer 68, les pilotes d’Air France à passer pour des gagne-petit, mais la réforme à la Macron, pour l’heure, est surtout applaudie par le centre et la droite. — (Jean-Michel Thénard, « La tournée du Macron » na Le Canard Enchaîné , 2 Mbängü 2018, lêmbëtï 1)}

Âlïndïpa

Sepe