Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

garçon \ɡaʁ.sɔ̃\ linô kôlï

  1. môlengê-kôlï/môlengê kôlï
    • De ces cervelles fines, la plus fine était la petite Brulette, emmi les filles, et des plus épaisses, la plus épaisse paraissait celle de Joseph, emmi les garçons. — (George SandLes Maitres sonneurs , Londres : George Bell & Sons (Les Classiques Français Illustrés, publiés sous la direction de Daniel O’Connor), 1908, lêmbëtï 4)
    • Ses deux premières femmes n’avaient pas su lui donner de garçon : tant pis pour elles. — (« Zaheira » na Out-el-KouloubTrois Contes de l’Amour et de la Mort , Édition Corrêa, 1940)
    • Devant nous, sur la chaussée, une bande de jeunes garçons s’efforçaient de maîtriser un kérabau emballé. — (Kazuo IshiguroQuand nous étions orphelins , gbïänngö tî François Rosso, Éditions Gallimard, 2014)
    • Madame, les garçons sont les soucis des mères. — (Victor Hugo- , -)
  2. (Mbîrîmbîrî nî) wakua tî dakôbe
    • Nous nous mîmes à table. J’avais recommandé la carte au garçon : mes convives parurent contents. — (Alexandre Dumas, « Impressions de voyage » na Revue des Deux Mondes , 1833, T. 1)
    • Garçon!… garçon!… des pieds de mouton à la poulette, et servez chaud… Allons, vivement. — (J. Gabriel et Charles Dupeuty, « Fanfan le batonniste » na représentée au théâtre du Vaudeville le 30 août 1845 ; dans La France dramatique au dix-neuvième siècle : choix de pièces modernes , Paris : C. Tresse, acte 1, scène 5, volume 13)
    • Les bistros regorgeaient d’hommes, de femmes endormis, que parfois le garçon réveillait pour qu’ils cédassent la place à de nouveaux venus. — (Francis CarcoMessieurs les vrais de vrai , 1927)
    • Il sollicita le garçon d’un timbre retentissant, en cognant bruyamment ses vastes pattes. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 11)

Âlïndïpa

Sepe