gars
Pandôo
Sepegars \ɡa\ linô kôlï
- (Mbumbuse) kôlï
- Il était mort. On n’en disait pas davantage.
Félicité tomba sur une chaise, en s’appuyant la tête à la cloison, et ferma ses paupières, qui devinrent roses tout à coup. Puis, le front baissé, les mains pendantes, l’œil fixe, elle répétait par intervalles :
— Pauvre petit gars ! pauvre petit gars !— (Gustave Flaubert, Trois Contes : Un cœur simple , 1877) - D’un coup d’œil scrutateur, le père l’examinait et le gars, craignant d’être fouillé, commençait à n’en pas mener large. — (« L’Argument décisif » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- […] et, fort beau gars encore, malgré sa corpulence, présentait dans l’ensemble l’allure d’un écuyer de cirque. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai , 1927)
- C’est un type. Mais que j’te prévienne, pas fortiche du tout, ni mariole. Un gars quoi ! Un bon gars. — (Francis Carco, Images cachées , 1928)
- Tu as pourtant l’air d’un gars costaud, un gars à qui on ne la fait pas, avec ton blouson, tes santiags et ta banane. Un vrai rocker… — (Didier Kiefer, Le Cri du baby-foot au fond du sous-marin , Éditions Publibook, 2010, lêmbëtï 74)
- Il était mort. On n’en disait pas davantage.
- (Mbumbuse) môlengê-kôlï
- Le père Jouen tomba la face contre terre, et le gars de la mère Alison le porta dans la barque. — (Charles-Philippe de Chennevières-Pointel, Contes normands par Jean de Falaise , 1e édition 1869, 2018, La Piterne)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine