Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

germe \ʒɛʁm\ linô kôlï

  1. (Sêndâfi) forôtokugbë
  2. (Sêndâsên) dapäräkongö
    • Le germe est ordinairement à la partie inférieure du pistil.
  3. (Zäzämä) ndïä
    • Sa Politique rationnelle, publiée en 1831, a plus de lecteurs aujourd'hui qu’alors, parce qu'elle contient en germe toute sa vie publique. — (Discours de M. Paul Deschanel à l'inauguration du monument Lamartine à Bergues le 21 septembre 1913, Paris : Charpentier & Fasquelle, 1913 , lêmbëtï 9)
    • Cet amour vague et sans espoir, conçu pour une femme de théâtre, qui tous les soirs me prenait à l'heure du spectacle, pour ne me quitter qu'à l'heure du sommeil, avait son germe dans le souvenir d'Adrienne, fleur de la nuit, éclose à la clarté de la lune... — (Gérard de Nerval, « Les Filles du feu » na Sylvie , 1854)
    • Chacun de nous possède en lui le trésor du germe de l'amour de Dieu. — (Robert Henckes, Au rendez-vous de Cana , éditions Fidélité, Namur, 1999, lêmbëtï 60)

Âlïndïpa

Sepe

Yângâ tî Pûra

Sepe

Pandôo

Sepe

germe \sêndagô ?\

  1. forôtokugbë