Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

gicler \ʒi.kle\

  1. fi, fi ngû, sua na ngangü
    • Elle court. Elle remonte le sentier, piétinant dans les flaques qui giclent. — (Claude FarrèreL’Homme qui assassina , 1907, lêmbëtï 295)
    • Il passait constamment sa main gauche sous son nez, comme pour arrêter le saignement. Mais le sang giclait toujours. — (Jean-Paul SartreLa Nausée , Gallimard, 1938, lêmbëtï 211)
    • Je mordais l’orange, un jus sucré giclait dans ma bouche. — (Françoise SaganBonjour tristesse , Julliard, 1954, lêmbëtï 36)
    • Sa misère et sa honte lui serviront de passeport pour entrer au ciel. Là-haut, la boue de son existence giclera autour d’elle en étoiles glorieuses. — (Marcel AyméClérambard , II, 3, 1950, lêmbëtï 95)
  2. (Tî kamënë) tûku ngûterê
    • Parfois, il y a une éjaculation pas totalement rétrograde mais le sperme ne gicle plus. — (L'activité sexuelle , Éditions Le Manuscrit, lêmbëtï 107)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï