Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

gifler \ʒi.fle\ palî tî mbenze

  1. sö ngbângbâ
    • Elle avait un amant qui s’appelait Maurice, qui était mauvais et qui la giflait à pleines mains.
      — Je ne sais pas si je l’aime : il m’a tellement battue que je ne me le suis jamais demandé.
      — (Charles-Louis PhilippeBubu de Montparnasse , 1901, réédition Garnier-Flammarion, lêmbëtï 157)
    • La douzaine d'otages est prête : il y en a même treize. Rien que des domestiques stylés de la guerre et tout enfant qui crie quand le canon tonne est giflé. — (Jean GiraudouxRetour d'Alsace - Août 1914 , 1916)
    • Et sans autre préambule, avant qu’elle s’y attendît, il la gifla si largement qu’il l’envoya culbuter contre le lit d’un seul revers de main. — (« Joséphine est enceinte » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Gustave fut giflé, et les femmes poussèrent tous les cris qu’il fallait, mais le vétérinaire était si courroucé qu’il ne se tint pas de le faire voir. — (Marcel AyméLa Jument verte , Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, âlêmbëtï 134-135)
    • Des ses énormes battoirs, il me giflait à toute volée. Je tombais à genoux, mais j'étais incapable de me maintenir droit. J'oscillais tantôt à gauche, tantôt à droite: […]. — (Henri AllegLa Question , 1957)
    • (Zäzämä)

Âlïndïpa

Sepe