gorge

Yângâ tî Farânzi

Pandôo

gorge \ɡɔʁʒ\ linô gâlï

1. (Sêndâ-saterê) gbegô, gô
   • Alors, sire, dit Catherine, vos sujets les huguenots feront comme le sanglier à qui on ne met pas un épieu dans la gorge : ils découdront le trône. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot , 1886, volume I, chapitre VI)
   • Cette fois, Concini voulut la saisir à la gorge, mais il recula, en murmurant : "Je suis trop lâche !" — (Michel Zévaco, Le Capitan , 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire », 1907, n^o 31)
   • Je sentais l’intensité du courant grandir et à mesure ma gorge, mes mâchoires, tous les muscles de mon visage, jusqu’à mes paupières se contracter dans une crispation de plus en plus douloureuse. — (Henri Alleg, La Question , 1957)
   1. • La gorge d’un bastion.
      • La gorge d’une redoute, l’entrée de la redoute du côté de celui qui l’a construite pour se défendre.

Âlïndïpa

• Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï