Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe
 
La gourde de l’armée française (4).

gourde \ɡuʁd\ linô gâlï

  1. kangû
  2. (Könöngö) ngängä
    • […] ; l'autre, son barda sur l'épaule, les chausses lui dégringolant le long des jambes, la tête rejetée en arrière et s'envoyant un jet de sa gourde dans le gosier, a l'allure épaisse et la trogne truculente d'un rustaud des Flandres. — (Rachel Valentino, La formation de la peinture française: le génie celtique et les influences , éd. G.P. Maisonneuve, 1936, lêmbëtï 307)
    • Deux ans après que l’ermite Xu You eut refusé l’empire à l’empereur Yao, Xu You jeta la gourde qu’on lui avait donnée pour puiser de l’eau. Comme on lui demandait pourquoi il l’avait jetée, il répondit :
      « Je ne supporte pas la plainte du vent qui s’y engouffre quand je suspends la gourde à la branche d’un arbre. »
      — (Pascal QuignardLa haine de la musique , Gallimard, 1996, collection Folio, âlêmbëtï 281-282)
  3. (Könöngö) bidöon

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï