Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

grand-mère \ɡʁɑ̃.mɛʁ\ linô gâlï

  1. tarä, âta
    • Pauline, ma vieille camarade de l’école maternelle, s’étonnait, devenue grand-mère, des façons de ses petits-enfants. « Ils sont drôles, ces mignons, disait-elle. Il leur faut leur scouteur rien que pour aller faire pipi. » — (Maurice GenevoixBeau-François , Plon, 1965 "Contes et récits"; Tallandier, 1987, préface, lêmbëtï 157)
    • Par quel terme interpeller ma grand-mère? Ce dernier mot me semblait pompeux, le diminutif « mémé » d’une niaiserie qui m’écœurait et dont la vieille dame elle-même eût été choquée […]. — (Angelo RinaldiL'éducation de l'oubli , Denoël, 1974, lêmbëtï 136)
    • Jusqu’à la Première Guerre mondiale, la plupart de nos grands-mères – les arrière-arrière-grands-mères de notre petit-enfant – nourrissent leurs bébés, c’est-à-dire nos mères et nos pères, au sein, comme cela s’est fait depuis des millions d’années. — (Sylvie Marion, Les Nouvelles Grands-mères: L’art et la manière d’être grand-mère aujourd’hui , Librairie Hachette, 1995)
    • De nos jours il y a malheureusement aussi de moins en moins de grands-mères et de grands-pères auxquels les conditions de vie familiale et sociale permettent de raconter des histoires à leurs petits-enfants. — (Laurence LentinApprendre à parler à l'enfant de moins de six ans : où ? quand ? comment ? , ESF éditions, 1997, tome 1, lêmbëtï 171)
    • Les préadolescents, eux, renâclent à la perspective de vivre au quotidien avec des vieux bien gentils mais incompréhensibles et « incomprenants ». Le sirop de groseille de grand-mère ne vaut pas le soda au cola ; […]. — (Patricia Chalon, De la bienveillance à la bientraitance , Marabout, 2007, partie 2)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï