Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

grelotter \ɡʁə.lɔ.te\ kürü palî

    • Je grelottais de tous mes membres, et mes dents cliquetaient. — (Alexandre Dumas, « Impressions de voyage » na Revue des Deux Mondes , 1833, T. 1)
    • « Ça fait du bien de marcher par ce froid-là », dit Matoussaint, — qui veut me faire croire qu’il s’amuse, mais qui grelotte, comme un lustre qu’on époussette. — (Jules VallèsL’Enfant , G. Charpentier, 1889)
    • En proie à un violent accès de fièvre, je ne suis guère disposé à admirer le paysage. Je grelotte, je suis tourmenté par une soif ardente, chaque pas de mon cheval martelle ma tête bourdonnante. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 133)
    • (Zäzämä) La maigre lumière, qui grelottait dans l’ampoule du plafond, révélait à peine, à travers l’écharpe dont Alain l’avait enveloppée, des murs ou des meubles inconnus. — (Pierre Drieu La RochelleLe Feu follet (1931) , Gallimard, 1972)
    • L’office H.L.M. mena l'opération en deux coups de cuillère à pot. Du béton si mince que les gens grelottaient l’hiver tout en payant des notes de chauffage faramineuses. — (Jean-Pierre Perrin-Martin, Urbanisme, minimum d'insertion : les Salmones , Éditions L'Harmattan, 1989, lêmbëtï 15)
    • (Zäzämä, Nocat)Le jardin est si dépouillé que rien ne cache plus l'insignifiance de ce qui est, ici, concédé à l'agrément : les carcasses des charmilles, les bosquets maigres grelottent sous la pluie éternelle. — (François MauriacLe Nœud de vipères , éditions Grasset, 1932, chapitre 20)

Âlïndïpa

Sepe