Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

griffer \ɡʁi.fe\ palî tî mbenze

  1. koto
    • Le chat vit seul, il n’a nul besoin de société, il n’obéit que quand il veut, fait l’endormi pour mieux voir et griffe tout ce qu’il peut griffer. — (François-René de ChateaubriandMémoires d'outre-tombe , Penaud frères, 1849)
    • Elle s’écarta vivement car elle pensait que le chat chercherait à la mordre ou à la griffer, mais le chat ne fit rien de tout cela. — (André CaroffGriffe de mort , Fleuve noir, 1963)
    • (Sêkpängö) Huguenin fit pénétrer son cheval au sein d'une épinaie. Le passage emprunté constituait une sorte d'étroit couloir dont on ne pouvait s'écarter sans se faire douloureusement griffer. — (Jean d'AillonL’Évasion de Richard Cœur de Lion: et autres aventures , Éditions Flammarion, 2015, chapitre 7)
  2. gbû
    • Tout de même, avant de s’engager sur la chaussée pour aller griffer un bahut [=attraper un taxi], Tomate en eut l’impression, le Maltais avait balancé un petit coup de châsse rapide dans leur direction. — (Albert SimoninUne balle dans le canon , Série noire, Gallimard, 1958, lêmbëtï 150)
    • Il se dit que c’est le moment de griffer le pognon, car icelui risque fort de lui passer devant le nose en lui envoyant des baisers. — (San-Antonio (pösäïrï tî Frédéric Dard), Le Loup habillé en grand-mère , Fleuve Noir, 1962)

Âlïndïpa

Sepe