Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

guérir \ɡe.ʁiʁ\

  1. kâi, kâi kobêla,
    • Pyrrus, Roi des Epirotes, guérissoit, dit Plutarque, tous les Rateleux en leur touchant seulement la rate avec le gros doigt de son pié droit ; […]. — (Jean MeslierLe Testament , édition de Rudolf Charles, 1864, chap. XIII, t. 1, lêmbëtï 81)
    • Leur pouvoir était illimité ; ils guérissaient les malades abandonnés des médecins, rendaient fécondes les terres stériles, arrêtaient les épidémies de bestiaux, mais ils n’étaient point toujours d’humeur à ces sorcelleries bienfaisantes, […]. — (Octave MirbeauRabalan )
    • M. A… G…, demeurant à Troyes, souffre depuis longtemps d’une entérite que différents traitements n’ont pu guérir. — (Émile CouéLa Maîtrise de Soi-même par l’autosuggestion consciente , éd. 1935, lêmbëtï 31)
    • (Könöngö)En vertu de ce principe des homœopathes : similia similibus curantur, l’aconit, la stramoine, la jusquiame, seraient capables de susciter cette névrose chez l’homme ou l’animal bien portant, puisqu’ils prétendent la guérir par ces médicaments. C’est ce qui, croyons-nous, est à démontrer. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes , Jules Pailhès, 1877)
    • Sylvius avait déjà fait observer que les bœufs qui, pendant l'hiver, sont affectés de concrétions biliaires, se guérissent au printemps en mangeant les feuilles et les tiges de chiendent dans les pâturages. — (« Le Chiendent - Triticum repens » na Revue de thérapeutique médico-chirurgicale , Paris : Dr Martin-Lauzer, 1865, lêmbëtï 17)
  2. (Bîanî) wara sênî

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï