Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

harangue \a.ʁɑ̃ɡ\ linô gâlï

  1. suatënë
    • Aussi, les harangues des princes, les remontrances des ministres, y tiennent-elles une grande place. — (Jean-Jacques Ampère, « La Chine et les travaux d’Abel Rémusat » na Revue des Deux Mondes , 1832, tome 8)
    • Le Béarnais se mit à rire; […]. La voiture ne s'arrêta pas, car il tombait une petite pluie fine, […], et on avait déjà perdu beaucoup de temps à écouter la harangue des notables de Sainte-Menehould ; mais Henri IV fit prendre les placets des verriers, et peu de jours après leur accorda de nouvelles lettres patentes. — (André Thieuret, « Le secret de Gertrude » na Le Correspondant , Paris : chez Charles Douniol, 1870, tome 82, lêmbëtï 236)
    • Aussi les harangues ne manquaient pas au roi Charles IX et à la reine de Navarre ; on sait combien les huguenots étaient harangueurs. Force allusions au passé, force demandes pour l’avenir furent adroitement glissées au roi au milieu de ces harangues. — (Alexandre DumasLa Reine Margot , 1886, volume I, chapitre I)

Âlïndïpa

Sepe