Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

hoquet \ɔ.kɛ\ linô kôlï

  1. yëngïngö,kpöngö-terê
    • L'un contre l'autre jetés
      Au moindre hoquet qu’ils trouvent.
      — (La FontaineFables , V, 2 : « Le pot de fer et le pot de terre »)
  2. sêku
    • Des hoquets de dégoût convulsèrent de nouveau leurs faces hâlées, zébrées de rides : depuis un mois, ils avaient bu de l’eau dans laquelle mijotait ce noyé ; depuis un mois tout le pays s’abreuvait de cette pourriture. — (« Un petit logement » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Sa voisine avait le hoquet. Ce fut d’abord un hoquet discret, qui se contentait de soulever à coups réguliers sa poitrine, comme si son cœur lui aussi eût sonné midi, mais il éclata bientôt comme un sanglot, et il semblait que la vue du potage éveillât en elle des souvenirs désespérés. — (Jean GiraudouxProvinciales , Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 185)
    • « Il faudrait peut-être le faire dégueuler », dit-il.
      Honoré emporta son garçon dans la cour pour lui mettre un doigt dans la gorge. Le bruit des hoquets, puis de la coulée de délivrance, arriva jusque sur la table.
      — (Marcel AyméLa Jument verte , Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 142)
  3. (Ngbêne) kängängö-lêgë
    • M. de Retz se disposa à se faire recevoir au parlement ; il y trouva un hoquet auquel il n'avait pas lieu de s'attendre ; son habit fut contesté par les magistrats. — (Saint-Simon264, 38 )

Âlïndïpa

Sepe