Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

horreur \ɔ.ʁœʁ\ linô gâlï

  1. kötä mbeto
    • […], tout ce désordre fantastique et grimaçant au milieu des ténèbres et de l’humidité froide qui tombe comme un suaire, laisse dans le cœur et dans les nerfs un long sentiment d’horreur. — (Hippolyte TaineVoyage en Italie , 1866, volume 2)
    • Privé de tout accommodement, […], le vice a peu de chance de séduire la vertu la plus chancelante. Elle s’en détourne avec horreur et trouve soudain dans cet instinctif revirement son équilibre et son salut — (Images cachées , 1929, préface)
    • Brrr ! fit Bert, en se cramponnant à la balustrade, et quelques soldats auprès de lui firent entendre un murmure d’horreur. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 204)
    • À terreur je préfère horreur. Le mot n’est guère plus précis mais il se trouve qu’il marque le dégoût et qu’il témoigne de la haine. — (Pascal QuignardLa haine de la musique , Gallimard, 1996, collection Folio, lêmbëtï 47)
    • J’ai horreur de le dire.
    • Cela fait horreur à penser.
    • On n’y saurait penser sans horreur, qu’avec horreur.
    • L’horreur d’un supplice signifie aussi la Cruauté d’un supplice.
    • L’horreur d’un tel supplice, l’horreur de ces tourments n’émut point son courage.
      • C’est une horreur, .
      • Vous disiez que c’était une jolie femme, c’est une horreur.
      • Vous vantiez ce logement comme agréable et commode, mais c’est une horreur!
      • Petite horreur!
      • Quel spectacle d’horreur!
      • L’exorciste est le meilleur film d’horreur.

Âlïndïpa

Sepe