Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

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hospice \ɔs.pis\ linô kôlï

  1. dagene
    • Il y avait au village deux enfants qu’on appelait « les enfants de l’hospice » ; ils avaient une plaque de plomb au cou avec un numéro ; ils étaient mal habillés et sales ; on se moquait d’eux ; on les battait ; les autres enfants les poursuivaient souvent comme on poursuit un chien perdu pour s’amuser, et aussi parce qu’un chien perdu n’a personne pour le défendre.
      Ah ! je ne voulais pas être comme ces enfants ; je ne voulais pas avoir un numéro au cou, je ne voulais pas qu’on courût après moi en criant : « À l’hospice ! à l’hospice ! »
      — (Hector MalotSans famille , 1878, Dentu E., 1887)
    • Je ne puis voir un pauvre sans lui donner ma bourse. J’ai doté des orphelines, établi des jeunes gens méritants, nourri des vieillards, fondé des hospices. — (Octave MirbeauLa Chanson de Carmen , 1990)
    • Hospice de la vieillesse, des incurables, des enfants trouvés, des aliénés, etc.

Âlïndïpa

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