Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

imbroglio \ɛ̃.bʁɔ.ljo\ linô kôlï

  1. wûsûwusu
    • Quoi que tu en dises, tu aimes les romans, les imbroglios, les situations scabreuses ; tu as juste assez de force pour friser les difficultés sans avaries, assez de faiblesse pour en savourer délicatement les transes. Tu te donnes à toi-même toutes les émotions extrêmes, depuis la peur d’être un malhonnête homme jusqu’au plaisir orgueilleux de te sentir quasiment un héros. — (Eugène FromentinDominique , L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, âlêmbëtï 197-198)
    • Notre esprit est toujours comme à la merci d’un téléphoniste farceur […] qui lui branche la communication avec n’importe qui, n’importe quoi, se plaisant aux pires confusions, aux imbroglios les plus fâcheux, les plus déraisonnables. — (Franc-Nohain [Maurice Étienne Legrand], Guide du bon sens , Éditions des Portiques, 1932, Les hommes, le sport et la politique)
    • Les changements à répétition des règles débouchent sur des imbroglios administratifs et juridiques inextricables et l’illégalité ouvre la porte à tous les trafics, mafias et répressions policières. — (Christian Pradeau & Jean-François Malterre, « Migrations et territoires » na Les cahiers d'Outre-Mer n° 234/volume 59 , Presses Universitaires de Bordeaux, 2006, lêmbëtï 204)

Âlïndïpa

Sepe