implorer
Palî
Sepeimplorer \ɛ̃.plɔ.ʁe\
- voro, sambêla
- On poursuivait un homme, on allait le tuer ; il vint tomber à genoux contre la porte de l’hôtel, comme s’il eût imploré ma protection. — (Michel Zévaco, Le Capitan , 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire », 1907, no 31)
- J’implorai avec ferveur la belle image de la Vierge coloriée à laquelle, tous les soirs, avant de me coucher, j’adressais ma prière. — (« Mon oncle » na Octave Mirbeau, Contes cruels )
- […] je dois murmurer à voix très basse :
— Esprit-Saint, aidez-moi !
L’idéal serait de faire en même temps le signe de croix. À l’église, pas de problème. En classe, dans la rue, impossible d’implorer le secours de l’Esprit-Saint : les communistes se moqueraient de moi. — (Yanny Hureaux, Bille de chêne : Une enfance forestière , Jean-Claude Lattès, 1996)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï