Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ

Sepe

inouï \i.nwi\ linô kôlï

  1. kukûna
    • Douce soirée où l’on pouvait encore croire — à la rigueur, le calcul des probabilités cédant à une chance inouïe — qu’il n’y aurait pas de morts pendant la guerre. — (Jean GiraudouxRetour d’Alsace - Août 1914 , 1916)
    • Les rafales d’une violence inouïe, accès de colère de Wottan ou de Thor, tombent des hauteurs en sifflant et soulèvent des tourbillons d’embruns qui sillonnent la mer. — (Jean-Baptiste CharcotDans la mer du Groenland , 1928)
    • En pleine mer, des bâtiments sombrèrent, ou, désemparés par la tempête, n’échappèrent au naufrage que par des efforts inouïs. — (Frédéric Zurcher et Élie-Philippe Margollé, Les Naufrages célèbres , chapitre 19, Hachette, Paris, 1873, 3e édition, 1877, lêmbëtï 185)
    • Les saints martyrs de Lyon et de Vienne endurèrent des supplices inouïs. — (Jacques-Bénigne BossuetHistorique I, 10. )
    • Les infortunes inouïes d’une si grande reine. — (Jacques-Bénigne BossuetReine d’Anglet. )
    • Ah ! sentence ! ah, rigueur inouïe ! — (Jean RacineIphigénie V, 1. )
    • Fortune dont la main couronne
      Les forfaits les plus inouïs.
      — (Jean-Baptiste RousseauOde à la Fortune. )
    • La jalousie entre ces deux chefs et l’absence du czar furent en partie cause de la défaite inouïe de Nerva. — (VoltaireRussie , I, 11)

Âlïndïpa

Sepe