Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

ivresse \i.vʁɛs\ linô gâlï

  1. nyöngö-sämba
    • L’ivresse qui dure longtemps chez les Sauvages, et qui est pour eux une espèce de maladie, les empêcha sans doute de nous poursuivre durant les premières journées. — (François-René de ChateaubriandAtala, ou les Amours de deux sauvages dans le désert , 1801)
    • C’était une ivresse de respirer, de humer ces rayons solaires que le printemps rendait si vivifiants ! — (Jules VerneLe Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
    • À l’origine on ne vit dans les boissons fermentées qu’un moyen de se mettre en état d’ivresse. C’est l’étonnement provoqué sur des âmes simples par les propriétés exhilarantes de ces breuvages qui fit décerner à leurs inventeurs les honneurs divins. Tous les hommes ont le goût des excitants propres à leur procurer, avec l’oubli momentané de leurs maux, les jouissances d’une vie que l’imagination arrange quelques instants à son gré. L’ivresse, cette poésie des fonctions digestives, est même, selon une remarque de [[[w:fr:Ernest Renan|Ernest]]] Renan, la seule forme sous laquelle les hommes sans culture puissent concevoir l’idéal. — (Louis Bourdeau, Histoire de l’alimentation , collection Études d’histoire générale, Félix Alcan, Éditeur, Paris, 1894, chap. V : Boissons distillées)
    • Jamais il n’avait éprouvé une ivresse de volupté aussi aiguë et il eût voulu prolonger indéfiniment cette délicieuse torture. — (Isabelle EberhardtLe Major , 1903)

Âlïndïpa

Sepe