Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

jeunesse \ʒœ.nɛs\ linô gâlï

  1. pendere
    • Avant-guerre, du temps de sa généreuse et brillante jeunesse de bohème malchanceux, il bondissait avec légèreté vers la thune quotidienne. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 10)
  2. (Sêlizänzö) maseka/masika
    • M. de La Fontaine, de l'Académie française, a écrit un poème : « La Chose impossible » pour apprendre à la jeunesse que les poils de certaines femmes ne peuvent être défrisés. — (Pierre LouÿsTrois filles de leur mère , Paris, 1926, chapitre 1)
    • Je parie que vous avez encore commis des imprudences! Jeunesse, va!— (Greg et Alain Saint-Ogan, Zig et Puce – Le voleur fantôme , éditions du Lombard, 1974, lêmbëtï 27)
    • À la télé, cette semaine, on a pu voir deux images de la jeunesse : des jeunes cravatés qui discutaient business avec le ministre Legault ; et des jeunes anarchistes qui lançaient des boules de billard aux flics. — (Jacques Julien, « Le cours de la valeur “Dieu” dans la dynamique générationnelle » na Pluralisme religieux et quêtes spirituelles: incidences théologiques , sous la direction de Marc Dumas & François Nault, Éditions Fides, 2004, lêmbëtï 185)
  3. (Sêlizänzö) âmaseka
    • La tête du cortège, c'était nous, c'est-à-dire Germinal, la jeunesse syndicaliste derrière son drapeau noir. C'est ici qu'étaient groupés les éléments les plus ardemment révolutionnaires de la jeunesse du pays. — (Christian DupuySaint-Junien, un bastion anarchiste en Haute-Vienne, 1893-1923 , Presses universitaires de Limoges, 2003, lêmbëtï 125)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï