jugement
Pandôo
Sepejugement \ʒyʒ.mɑ̃\ linô kôlï
- ngbanga, fängö-ngbanga
- Écoutez la voix de la justice et de la raison ; elle vous crie que les jugements humains ne sont jamais assez certains pour que la société puisse donner la mort à un homme condamné par d'autres hommes sujets à l'erreur. — (Robespierre, Discours sur la peine de mort , le 30 mai 1791 au sein de l’Assemblée constituante.)
- Quelques maisons furent livrées au pillage, et trois des principaux habitants fusillés par jugement du conseil de guerre, exécution qui ne violait pas la capitulation, dont les clauses avaient mis les Véronais à la discrétion des vainqueurs. — (Abel Hugo, France militaire. Histoire des armées françaises de terre et de mer de 1792 à 1837 , Paris : Delloye, 1838, vol. 2, lêmbëtï 182)
- Des créanciers récalcitrants ont obtenu un jugement contre moi et mon compte est bloqué chez Hachette. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 206)
- […], la comtesse fit incarcérer le meurtrier et, après jugement, celui-ci fut pendu. L'exécution eut lieu le jour de Pourim. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
- bibê, tënë tî bê
- Le vrai, indépendant de mes caprices, doit être la règle de mes jugements ; et je ne ferai point un crime à celui-ci de ce que j’admirerai dans celui-là comme une vertu. — (Denis Diderot, Pensées philosophiques , Texte établi par J. Assézat, Garnier, 1875-77)
- Les sociologues savent bien que les jugements en disent souvent plus sur leurs auteurs que sur les choses dont ils parlent. — (Fondation Copernic, Sarkozy et l’Université – la revanche personnelle d’un cancre. , Février 2009)
- Porter, donner son jugement sur quelque chose, sur un écrit, sur un ouvrage, sur un auteur.
- Asseoir, fonder son jugement sur un fait précis.
- (Zäzämä) Le jugement de l’histoire.
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï