Bâa ngâ : Juin

Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

juin \ʒɥɛ̃\ wala \ʒy.œ̃\ linô kôlï

  1. Föndo
    • En juin 1585, il est de nouveau à Croixval; sa santé empire, et en octobre il prévoit qu’il s’en ira avec les feuilles. — (Raymond Lebègue, La poésie française de 1560 à 1630 , Société d’édition d’enseignement supérieur, 1951, lêmbëtï 118)
    • […], mais l’on n’était qu’en juin et, sauf pour les poires de moisson qui mûrissent en août, il fallait encore attendre longtemps avant de savourer concurremment les pommes du verger et la vengeance désirée. — (« Une revanche » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • La fenaison commence généralement dès les premiers jours de juin, époque à laquelle, dans les années sèches, beaucoup des Graminées sont arrivées à maturité; […]. — (Gustave MalcuitContributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne , thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, âlêmbëtï 84 → dîko mbëtï)
    • La moisson de l’orge a lieu aux premiers jours de mai, celle du blé dans la seconde quinzaine de ce mois, celle du maïs au commencement de juin, et celle des légumineuses un peu plus tard. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 220)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï