Bâa ngâ : kilometre

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

kilomètre \ki.lɔ.mɛtʁ\ linô kôlï

  1. kilomêtere
    • Les appareils s’élevaient assez bien et volaient pendant quelques kilomètres, mais ils reprenaient rarement terre sans qu’une partie quelconque se disloquât. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 17)
    • L’opération de pourrissage qu’on appelle également « schappage », offre le gros inconvénient de dégager une forte odeur, désagréable et tellement accentuée qu’elle se distingue à plus d’un kilomètre des usines. — (Daniel Marie Joseph de PratNouveau manuel complet de filature; 1ère partie: Fibres animales & minérales , Encyclopédie Roret, 1914)
    • Aux carrefours, des plaques tentatrices indiquent Colmar, Strasbourg, Fribourg, avec le nombre de kilomètres le plus réduit, en évitant d’atteindre un chiffre rond, comme dans les grands magasins : 59, 99, 119. — (Jean GiraudouxRetour d’Alsace - Août 1914 , 1916)
    • Les gros obusiers allemands portaient à douze kilomètres ; ainsi ils se tenaient à peu près hors d’atteinte ; il fallait une très bonne oreille pour entendre leur coup de départ. — (AlainSouvenirs de guerre , Hartmann, 1937, lêmbëtï 95)
    • Le nouveau campement est établi à une douzaine de kilomètres de l'ancien, dans une plaine ondulée et verdoyante. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 119)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï