laideron
Pandôo
Sepelaideron \lɛ.dʁɔ̃\ linô kôlï
- (Na sïönî nî) sïnngö
- Cela m’amusait, j’en tombe d’accord, de voir que, pour danser avec une laideron comme moi, tu laissais de côté une belle fille […] — (George Sand, La Petite Fadette , Michel Lévy, 1849)
- Pouah ! mes salives desséchées,
Roux laideron
Infectent encor les tranchées
De ton sein rond ! — (Arthur Rimbaud, Mes petites amoureuses , 1871) - Il avait pris un laideron pour secrétaire et un laideron pour femme. N'était-ce pas ce qu'il voulait ? Il en avait soupé de la beauté, non ? — (Agatha Christie, Le Vallon , gbïänngö tî Alexis Champon, éditions du Masque, 2012, chap. 3)
- Ma mère aimait à raconter comment le jour de la naissance d’Odette, la vieille tante Céline s’était penchée au-dessus de son berceau et s’était écriée : « Malheur ! C’est un laideron ! » Maman avait fondu en larmes. — (Elsa Triolet, Le premier accroc coûte deux cents francs , 1944, réédition Cercle du Bibliophile, âlêmbëtï 258-259)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine