Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Un lièvre (1)
 
Armoiries avec un lièvre (sens héraldique)

lièvre \ljɛvʁ\ linô kôlï

  1. (Nyama) ndaramba
    • Les amateurs de la chasse prétendent que le lièvre est en proie à une agonie plus terrible pendant la poursuite des lévriers que lorsqu’il se débat entre leurs griffes. — (Walter ScottIvanhoé , traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
    • Les lièvres de plaines ont les membres postérieurs très-longs, bien plus longs que les lièvres de montagne, or il est notoire que ces derniers sont moins vite forcés par les chiens que les lièvres des plaines. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France , École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
    • La carnassière, maintenant bien remplie, pesait à ses épaules le poids de deux forts lièvres. — (Alphonse de ChâteaubriantMonsieur des Lourdines , chapitre 2, 1910)
    • Plus loin, une vision rapide de chevaux lancés à toute vitesse, de selles rouges et de vêtements blancs envolés dans un nuage de poussière : des chasseurs à la poursuite de quelque gibier, lièvre ou gazelle probablement. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 54)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï