lourde
Pasûndâ
Sepelourde \luʁd\ linô gâlï
- tî nëngö
Pandôo
Sepelourde \luʁd\ linô gâlï
- yângâda
- Elle traversa la pièce pour aller coller une oreille contre la lourde. — (Raymond Queneau, Zazie dans le métro , Gallimard, 1959, lêmbëtï 64)
- Kalel saute de son pieu pour cavaler à la lourde. — (San Antonio (cf. Frédéric Dard), Les deux oreilles et la queue , S-A 117, Fleuve Noir, 1984)
- Tout de suite, j’avise ce que je compte trouver là : un flic assis près de la lourde, avec cet air infiniment malheureux des gens condamnés à se faire chier des heures durant.— (San-Antonio (pösäïrï tî Frédéric Dard), Turlute gratos les jours fériés , S-A 163, Fleuve Noir, 1995)
- nzetï, türünëngö-li
- Tu parles ni peu ni assez ; tu me fous la lourde !
- (Könöngö) nyöngö-sämba
- Tu l’aurais vu, il avait une de ces lourdes, il ne marchait plus très droit !
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine