Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

mérite \me.ʁit\ linô kôlï

  1. kötä nëngö
    • L’auteur de l’explication, Florentin de Thierrat, était né à Mirecourt vers la fin du XVIe siècle ; ce fut un jurisconsulte de grand mérite, tout à la fois habile, conciliant ; on l’appelait l’arbitre de la province. — (Gustave FraipontLes Vosges , 1895)
    • Mais les hommes n’échappent pas à leur destinée, et la mienne consiste à gagner deux mille francs. Je ne suis point né pour acquérir de la fortune, et je m’en consolais, jadis, en me disant que chacun, sur la terre, est payé selon ses mérites. — (Octave MirbeauLettres de ma chaumière : La Tête coupée , A. Laurent, 1886)
    • (Hëngö-ndo)Le sulpicien Godet, qu’elle prit pour son directeur et pour directeur de Saint-Cyr, était un cuistre de mérite ; c’est à peu près la définition qu’en donne Saint-Simon qui en fait cas. — (Jules MicheletDu prêtre, de la femme, de la famille , Hachette & Paulin, 1845 (3e édition), lêmbëtï 94)
    • Reconnaître, apprécier, considérer, honorer le mérite.
    • Il faut donner les emplois au mérite et non à la faveur.
    • Il y a beaucoup de mérite à confesser ses torts.
    • Ces deux hommes sont également remarquables, mais par des mérites différents.
    • Le mérite est un mode de justification des inégalités très commode, que l’on mobilise pour décrire et légitimer l’ordre social.— (Annabelle Allouch interviewée par Alice Raybaud, « Le mérite est un mode de justification des inégalités très commode » na Le Monde , selon la sociologue Annabelle Allouch, 2 septembre 2021)

Âlïndïpa Sepe