Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe

mamie \ma.mi\ linô gâlï

  1. (Sëwä) kötärä, tarä, âta
  2. (Sëwä) (Tî môlengê, Mbumbuse) âta-wâlï/âtawâlï
    • Je l'adorais : puisque c'était ma grand-mère. On m'avait suggéré de l'appeler mamie, d'appeler le chef de famille par son prénom alsacien, Karl. Karl et mamie, ça sonnait mieux que Roméo et Juliette, que Philémon et Baucis. — (SartreLes Mots , 1964)
    • Ma grand-mère a des principes, elle est le cadre rigide et clair de mon enfance, celui sur lequel on s'appuie, à l'opposé de l'agitation trouble de l'hôtel. Pas de bruit le dimanche chez mamie, pas de vélo, la table est un lieu de silence, pas une friterie de gare. — (Sylvia KristelNue : Dans l'ombre du fantasme , écrit avec Jean Arcelin, Le Cherche-Midi, 2006)

Pandôo 2

Sepe

mamie \ma.mi\ linô gâlï

  1. sêtôngbi tî m’amie
    • Il n'y a pas à dire mamie mon cœur, c'est la plus charmante fille que j'aie vue de ma vie. — (Victor HugoLes Misérables , 1862)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï