Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

marmotter \maʁ.mɔ.te\ palî tî mbenze

  1. boboto

Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

marmotter \maʁ.mɔ.te\

  1. boboto
    • Or, c’était fête à la synagogue, ténébreusement étoilée de lampes d’argent, et les rabbins, en robes et en lunettes, baisaient leurs talmuds, marmottant, nasillonnant, crachant ou se mouchant, les uns assis, les autres non.— (Aloysius BertrandGaspard de la nuit , 1842)
    • Elle marmotte tout bas : « Et puis bien sûr…les hommes savent ce que je suis… alors ils ne se gênent pas. »— (Antoine de Saint-ExupéryManon, danseuse , 1925)
    • Le capitaine Gaumard entre à pas comptés, feutrés et referme derrière lui la porte doucement. Il marmotte et puis suffoque. C’est de plaisir. Des larmes de qui se gorge-t-il ? On dirait qu’il rit. Il exulte. C’est qu’il rapporte chaque soir à sa femme, comme son gibier, la nouvelle du malheur de quelqu’un de plus audacieux ou de moins cagot que lui.— (Marcel JouhandeauChaminadour , Gallimard, 1941 et 1953, Le Livre de Poche, lêmbëtï 162)

Âlïndïpa Sepe

  1. REDIRECTIONmarmonner