Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Représentation du mois de mars.

mars \maʁs\ linô kôlï

  1. Mbangö/Mbângö
    • Du sang va couler à Hildesheim, alors que de mémoire d'homme n'y ont coulé que la bière de mars et le vin d'octobre. — (Jean RayHarry Dickson, Le Vampire aux yeux rouges , 1932)
    • Fin février est très beau et le 2 mars nous quittons le cantonnement de Marquigny. — (Gustave Folcher et Rémy Cazals, Les carnets de guerre de Gustave Folcher, paysan languedocien, 1939-1945 , François Maspéro, 1981, lêmbëtï 62)
    • Dès la fin novembre, les plantations de peupliers peuvent débuter, […]. À l’exception toutefois des stations où la nappe remonte près de la surface en hiver. Dans ces parcelles, mieux vaut attendre mars, voire avril. — (« Peupliers : comment réussir les nouvelles plantations. » na Vincent Thècle, La France agricole , n° 3361, 26 Nabändüru 2010)
    • «On sait que le mois de marsc’est le mois des tempêtes au Québec d’habitude (…) mais là pour les prochaines semaines on voit de la chaleur, de la douceur», a-t-il dit. — (Agence QMI, Un des printemps les plus doux des 12 dernières années , Le Journal de Québec, 2 Mbängü 2021)
    • L’équinoxe de printemps est en mars.
    • (Mato) Pluie au premier mars, pluie au premier mai.
  2. (Pagao) birä
    • Le métier de mars
    • Les favoris de mars.
    • Champ de mars.

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï

Yângâ tî Islânde Sepe

Pandôo Sepe

mars \marz\

  1. Mbangö

Yângâ tî Kreöol tî Larënïon Sepe

Pandôo Sepe

mars \mɑʁs\

  1. Mbangö

Yângâ tî Nörvêzi Sepe

Pandôo Sepe

mars \sêndagô ?\

  1. Mbangö