Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

maxime \mak.sim\ linô gâlï

  1. mato
    • […] ; il n’est que trop facile qu’un jeune homme ambitieux, et dont le cœur et le jugement ne sont pas assez formés pour distinguer le bon du mauvais, soit corrompu par des maximes qui flattent ses passions. — (Frédéric II et VoltaireL’anti-Machiavel , 1739, éd. 1947)
    • Mon ami, dit Holkbar, aussitôt pris, aussitôt empalé : c'est ma maxime. — (Alfred AssolantAventures merveilleuses mais authentiques du capitaine Corcoran , 1867 → dîko mbëtï)
    • Obéissant presque toujours, en voyage, à la maxime : « Quand vous êtes à Rome, faites comme les Romains », je fus amené à goûter tous les mets étranges qui constituaient le repas. — (Alain GerbaultÀ la poursuite du soleil , 1929, tome 1 : De New-York à Tahiti)
    • Vieillir est sot, ne nous laissons pas abuser par les belles maximes des songe-creux bibliques. — (Paul FortLe livre des visions : Vivre en Dieu , éd. 1941, lêmbëtï 13)
    • La perspective d'accroître son capital personnel par l'investissement lui rappela irrésistiblement la maxime d'un célèbre humoriste : « Celui qui est parti de rien pour arriver à pas grand-chose, disait Pierre Dac, ne doit rien à personne ». C'était évidement son cas. — (René PassetUne économie de rêve ! : « La planète folle » , éd. Mille et une nuits, 2003, chap. 25)

Âlïndïpa

Sepe