Bâa ngâ : Mentor

Pandôo

Sepe

mentor \ˈmɛn.tɔːɹ\

  1. tölimbï

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

mentor \mɑ̃.tɔʁ\ linô kôlï

  1. tölimbï
    • Certainement, Jeanne, sous l’aile d’un tel mentor, ne sera plus en butte aux séductions des jeunes gens de votre village.— (George SandJeanne , 1844)
    • Élève de mathématiques spéciales, il devenait ainsi, aux heures d’études, le mentor de ses camarades de classe. On lui obéissait sans effort ; son caractère simple et sérieux, le sentiment qu’il avait de la dignité individuelle lui rendaient facile l’autorité. — (René Vallery-RadotLa vie de Pasteur , Hachette, 1900, Flammarion, 1941, lêmbëtï 20)
    • Ce soir-là, Joseph ne dîna pas, et, dès huit heures et demie, sonnait à la porte du professeur de mathématiques qui lui servait de mentor. — (Julien GreenMoïra , 1950, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 91)
    • Le rêve de Bouteflika n’a jamais été d’être Boumedienne, son mentor des années 1970. Non, sa fascination va vers Hassan II. — (Kamel Daoud, « La renaissance du corps algérien » na Le Point , 7 Mbängü 2019, n° 2427, lêmbëtï 46)

Âlïndïpa

Sepe

Pandôo

Sepe

mentor \sêndagô ?\

  1. tölimbï