Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Une messe. (1)

messe \mɛs\ linô gâlï

  1. (Sêkrîsto, Nzapä) mêse, kötä-sambêla
    • Les curés sont très violemment attaqués par lui et la famille Chagot est dénoncée parce qu’elle force les mineurs de Montceau à aller à la messe. — (Georges SorelRéflexions sur la violence , 1908, chap. VI La Moralité de la violence, lêmbëtï 284)
    • Venez à la messe, ne manquez pas mon prône surtout, j’ai quelque chose de très sérieux, de très intéressant, de très grave à vous apprendre ; venez, vous verrez que vous ne vous en repentirez pas. — (Louis Pergaud, « Le Sermon difficile » na Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • …Offenserais-je le Très-Haut si à la messe dimanche prochain, j’ai pour mes paroissiens une intention particulière ? — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
    • Entre la poire et le fromage Bianchon arriva, par d’habiles préparations, à parler de la messe, en la qualifiant de momerie et de farce. — (Honoré de BalzacLa Messe de l’athée )
    • Catholique ardente, Madame Lemonnier allait régulièrement à la messe prier la Sainte Vierge de l’aider dans ses petits trafics, marché noir à la petite semaine, trocs, échanges de services. — (Évelyne Krief, Enfance interdite ou La Petite Marrane , L’Harmattan, 1997, lêmbëtï 112)
    • S’il y eut des saintes et des martyres, en revanche point de papesses ou seulement de clergeonnes. La messe est purement virile. — (Roger JudrinGoûts et couleurs : portrait abécédaire , Plon, 1966, lêmbëtï 108)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï