minuit
Pandôo
Sepeminuit \mi.nɥi\ linô kôlï
- bêbï
- […] ; les places et les rues attenantes, habituellement si solitaires dès que neuf heures sonnaient à Saint-Germain-l’Auxerrois, étaient, quoiqu’il fût minuit, encombrées de populaire. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot , 1886, volume I, chapitre I)
- […], rien ne resplendit plus, après minuit, que cinq ou six débits mal fréquentés dont l'éclairage ourle le trottoir d'un morne flamboiement. — (Francis Carco, Images cachées , 1928)
- Hé Rosaire, quelle heure qu'y est?
Minuit dans vingt
Merci ben
Ça doit être noir de monde su'l'perron d'l'église — (« chanson Noël au camp » na Tex Lecor, Je t'amène avec moi - Noël au camp , 45 tours, 1968) - Et suivant son idée, vers les minuit, il me conduisit à la sortie de l’Éden, où figuraient alors dans un ballet des centaines d’enfants écaillés d’or, se balançant autour d’une danseuse lascive. — (Maurice Barrès, Le culte du moi : le jardin de Bérénice → dîko mbëtï)
- C'est trop de minuits sans nouvelles de toi. Le premier nous a anéantis ; les autres n'ont servi à rien ; ils étaient superflus. — (Réjean Ducharme, L'hiver de force , Gallimard, 1973, lêmbëtï 59)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï