Yângâ tî Farânzi

Mbasêlî

mollement \mɔl.mɑ̃\

(Zäzämä) na wököngö nî
- Ses bras, à moitié endormis, mollement jetés hors de la bergère, achevaient d'exprimer une pensée de bonheur. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans , 1855)
- Quand Miette riait, renversant la tête en arrière et la penchant mollement sur son épaule droite, elle ressemblait à la Bacchante antique, avec sa gorge gonflée de gaieté sonore, ses joues arrondies comme celles d’un enfant, ses larges dents blanches, ses torsades de cheveux crépus que les éclats de sa joie agitaient sur sa nuque, ainsi qu’une couronne de pampres. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon , G. Charpentier, Paris, 1871; réédition 1879, chapitre III , âlêmbëtï 16-17)